lundi 4 février 2013

Arreter de fumer avec l'Hypnose


Arreter de fumer avec l'Hypnose


L'hypnose est aujourd’hui une des techniques des plus efficaces pour l'arrêt du tabac.
L’avantage de l’hypnose est que l’on devient non fumeur et pas un ancien fumeur comme avec les techniques traditionnelles, il n’y aura donc pas de compensations.

L’arrêt du tabac par hypnose va reposer sur le principe de la suggestion et le concept de l'empreinte. Il y a dans chaque fumeur une part qui désire et a toujours désiré se délivrer un jour du tabac.
J’amplifie cette part, aussi infime soit-elle. Je donne l'avantage à des pensées et à un discours différents qui déplacent le fumeur vers un comportement de non-fumeur.

Differentes suggestions vont être délivrées pendant la séance d'hypnose pour arrêter de fumer. Le fumeur se saisit de celles qui sont, pour lui, les plus mobilisatrices. Comme par exemple, l'association tabac-nausées, le plaisir de respirer, le désir de se débarrasser d'un produit toxique, de vaincre une dépendance.

L’hypnose pour arrêter de fumer fonctionne que le fumeur soit faiblement ou très fortement dépendants à la nicotine.
Elle va calmer les symptômes de manque sévère aux composants du tabac et aux gestes et comportements addictifs.

Il existe 4 niveaux d'approche différents dans l'arrêt du tabac par hypnose :

Suggérer directement au fumeur de changer de comportement.
Modifier la perception du comportement de dépendance.
Utiliser l'hypnose pour visualiser l'avenir sans tabac.
Utiliser l'hypnose en technique aversive : tabac = nausée.


Pour le tabac deux séances sont suffisantes.

Après l'arrêt de la dernière cigarette


Après l'arrêt de la dernière cigarette :


Au bout de 24 h : le risque d'infarctus du myocarde diminue déjà. Le corps ne contient plus de nicotine.

Au bout de 48 h : le goût et l'odorat s'améliorent

Au bout de 72 h : respirer redevient plus facile et on ressent plus d'énergie

Au bout de 2 semaines : la toux et la fatigue diminuent.

De 1 à 9 mois on est de moins en moins essouflé. Les cils bronchiques repoussent.

Au bout d'un an : le risque d'infarctus du myocarde diminue de moitié. Le risque d'accident vasculaire cérébral rejoint celui d'un non-fumeur.

Au bout de 5 ans : le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié.

Au bout de 10 à 15 ans : l'espérance de vie redevient identique à celle des personnes n'ayant jamais fumé.

Ce que l'industrie du tabac ne vous dit pas